Revue de presse du 8 février

On parle beaucoup de Caden'cité ce matin dans la presse...

Les porteurs du projet semblent fébriles... J'avais déjà pu le mesurer cette semaine, constatant une activité frénétique sur le blog, provenant d'une adresse IP de... Pays de Montbéliard Agglomération !

Alors que nous disent-ils ce matin dans l'Est ?

Tout d'abord, chers adhérents, et selon la formule de M. Bourquin, vous faites partie d'un "mouvement poujadiste".

Quand on n'a rien à répondre sur le fond, on manie l'insulte...

Mais peut-on vraiment lui reprocher d'éluder les questions sur le fond ?

Lorsque d'autres s'y essayent, force est de constater que les arguments leur manquent...

Ainsi lorsqu'on fait remarquer à un élu EELV que le projet n'a que "peu d'efficacité environnementale" (selon les propres termes de la commission d'enquête), il élude et dévie sur des notions de mobilité. C'est ce qui s'appelle faire un choix entre son fauteuil et ses convictions !

M. Moscovici, quant à lui, répond "c'est un projet écolo"... (non, ne cherchez pas, il n'y aura pas de démonstration...) ;

Enfin M. Hélias préfère rappeler qu'il a construit beaucoup de pistes cyclables et que nous aurons bientôt 20 bus hybrides (alors même qu'il mentionne l'achat de 20 bus 100% gasoil dans Montbéliard à la Une de janvier 2014).

Une fois de plus, on est bien obligé de constater que ce projet Caden'cité ne répond qu'à des motivations purement idéologiques.

Lorsqu'il s'agit de le justifier sur des critères objectifs (le premier d'entre eux étant l'Environnement), les arguments sont inexistants !

L'association attend toujours des réponses précises aux questions précises qu'elle a soulevées.

Comments

[Mathieu]

C'est toujours pareil avec ces zoizeaux là : ils affirment sans rien démontrer et montrent un mépris d'une arrogance incroyable à ceux qui ne sont pas d'accord avec eux. Il faut vraiment faire de la politique autrement. Virez ces dinosaures politiques!



En réalité, ça démontre que le sujet est important et qu'ils sont en difficulté. ils paniquent car ils savent bien leur projet (qui nous mêne à la ruine) est (heureusement) en sursis .